Safi Sana Ghana Limited Company étend ses installations de traitement des boues de faucons à Accra en traitant des flux de déchets supplémentaires tels que les déchets solides du marché d'Ashaiman et l'abattoir d'Accra. Cela permet à Safi Sana de générer plus d'énergie qui peut être fournie au réseau national.

Pour cela, la société a complété une deuxième grande usine de digestion et de cogénération (voir photo en haut) fournie par la société néerlandaise Nijhuis Industries.

L'entreprise sociale applique un modèle simple qui lui permet de recueillir les matières fécales et les déchets solides, de les acheminer à travers ses machines d'usine pour fabriquer des engrais organiques à des fins agricoles et d'alimenter le réseau électrique national.

Centrale de cogénération alimentée au biogaz et produisant de l'électricité.

Plus de mégawatts
«Nous avons un grand digesteur anaérobie», a expliqué le directeur de pays Raymond Ategbi Okrofu à Safi Sana Ghana », qui a de la place pour toutes les chaînes de déchets afin qu'il passe par le processus de fermentation et le gaz est produit, et nous diriger le gaz Pour alimenter un générateur ".

"Actuellement, nous faisons presque 1,6 mégawatts sur une base quotidienne; Mais il ya la capacité de faire plus si nous avons des déchets propres et nous agrandir la taille du digesteur ".

Réutilisation de l'eau
Pour compléter le système circulaire, Safi Sana réutilise l'eau recueillie dans les lits de séchage du digesteur. Cette eau est utilisée comme eau d'irrigation - exempte d'agents pathogènes, pleine de nutriments - pour cultiver des plantules de légumes dans sa propre serre. L'engrais organique est utilisé pour stimuler la croissance. Le type de semis est sélectionné en étroite consultation avec les agriculteurs locaux et les reines du marché.

Safi modèle Sana qui utilise les déchets pour produire des engrais et de l'électricité.

Réplication vers d'autres régions
Okrofu à Safi Sana Ghana a déclaré que le modèle de la société pour traiter plusieurs flux de déchets, y compris les matières fécales des toilettes publiques, est utile et peut être mis à l'échelle ou reproduit dans différentes régions de la nation.

«Étant la première usine, nous avons été un peu réservés dans notre conception, il peut être conçu pour traiter n'importe quelle quantité de déchets, mais la première usine que nous avons ici, il est conçu pour avoir 30 tonnes métriques de déchets sur une base quotidienne», il a dit.

Conglomérat de partenaires
La technologie utilisée à l'entreprise est importée des Pays-Bas et est un programme d'Aqua for All dans un conglomérat de partenaires commerciaux et publics, y compris Royal HaskoningDHV, Wereld Waternet, la Banque africaine de développement et le gouvernement néerlandais, qui a réuni le capital nécessaire pour Établir le projet.

Selon M. Okrofu, la construction d'une usine similaire dans d'autres régions de l'État peut coûter moins, en raison de l'évitement des coûts tels que l'enregistrement des entreprises et d'autres services connexes.

Ayant passé près de trois ans pour finalement établir et officiellement commencer l'exploitation de l'entreprise de gestion des déchets après une phase de pilotage, Safi Sana est optimiste que l'élaboration d'un autre système pour servir le même but à une échelle supérieure, prendra moins d'un an pour terminer.

Cette nouvelle est basée sur un article publié sur le site de Construction Review Online .